Les projections sont souvent assorties de débats. Vingt ans plus tard, l'exploitation s'est agrandie, la famille aussi. L'acteur Guillaume Canet s'est investi à bloc dans son rôle, allant à la rencontre des agriculteurs, assistant aux débats dans les régions, partageant la cause des agriculteurs sur les réseaux sociaux. "Alors que pour les gens de la campagne, ce paysan se bat pour vivre, développer son entreprise (...) ils se vivent de son côté", ajoute-t-il. Les Parisiens sont de plus en plus compliqués dans leur pratique du cinéma. D'autant qu'il permet aux spectateurs d'entrer dans l'intimité réaliste d'une famille d'agriculteurs, de voir le fardeau de la reprise d'une exploitation et ses tensions générationnelles, d'assister aux pressions de la coopérative locale.
Vingt ans plus tard, le fiston a du matériel plus gros, des bâtiments plus grands, des traitements plus chers, des productions plus diversifiées, et du boulot plein les bottes. Au début des années 1980, un fils achète la ferme de son père, qui élève 200 chevreaux.
Ce succès n'est pas un hasard, voici les raisons qui peuvent peuvent l'expliquer. Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale.
De cette histoire personnelle, Jérôme Bergeon a fait un film, « Au nom de la terre », où Guillaume Canet insuffle une grande émotion. Du classique, hélas. "Parmi les spectateurs, beaucoup se sentent légitimés par le fait que le cinéma montre leur détresse et la rende accessible au grand public", ajoute-t-il : "C'est une manière de les déculpabiliser".
"En milieu rural, rares sont les gens qui ne connaissent pas de près ou de loin un cas de suicide", souligne Claire Ruault. Le progrès galopant est prometteur, mais exigeant. Un record réalisé loin de Paris, dans des villes plus moyennes que grandes, des cinémas associatifs, des clubs citoyens. Le film « Au nom de la terre », tourné en Mayenne, veut rafler des César.
Le film « Au nom de la terre » creuse son sillon en Anjou, Actualité sportive nationale et internationale, Cet établissement est nouveau sur maville.com. Au nom de la terre marche très bien, mais plus en province qu’à Paris, c’est bien cela ?
Selon Michel Bohuon, le film peut servir à "sortir" de l'actuel climat de dénigrement des agriculteurs, notamment autour de la question de l'utilisation des pesticides ou du bien-être animal. Association loi 1901, nous nous adressons aux personnes célibataires ayant vécu une séparation, un divorce ou un veuvage, et qui souhaitent trouver une bande de copains pour sortir de la solitude.
Au nom d’une société qui sombre dans la folie du matérialisme et de la fuite en avant.
Cinéma "Au nom de la terre" : les raisons de l'incroyable succès d'un film sur le monde agricole.
Ça sent le vécu et ça rend triste ». Les charges augmentent, pas les recettes. Eux aussi malheureusement touchés de près par le suicide dans leur entourage.
Le scénariste et metteur en scène y raconte une aventure familiale, passant du bonheur à l’horreur, de l’espoir à la mort. Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon
En revanche à Paris, coeur battant du cinéma, le film a fait moins de 200.000 entrées.
Nous t'y enverrons un nouveau mot de passe ! Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon Avec Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale. Parmi les films français qui ont réalisé le plus d'entrées, Au nom de la terre se place juste derrière Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu 2 (6,7 millions de spectateurs) et Nous finirons ensemble (2,8 millions) réalisé par... le même Guillaume Canet. « Forcément, ce n’est qu’une histoire », argumente Maurice, qui a fait plus de vingt kilomètres pour venir voir le film aux Ponts-de-Cé. Mais il y a pire.
Les projections sont souvent assorties de débats. Vingt ans plus tard, l'exploitation s'est agrandie, la famille aussi. L'acteur Guillaume Canet s'est investi à bloc dans son rôle, allant à la rencontre des agriculteurs, assistant aux débats dans les régions, partageant la cause des agriculteurs sur les réseaux sociaux. "Alors que pour les gens de la campagne, ce paysan se bat pour vivre, développer son entreprise (...) ils se vivent de son côté", ajoute-t-il. Les Parisiens sont de plus en plus compliqués dans leur pratique du cinéma. D'autant qu'il permet aux spectateurs d'entrer dans l'intimité réaliste d'une famille d'agriculteurs, de voir le fardeau de la reprise d'une exploitation et ses tensions générationnelles, d'assister aux pressions de la coopérative locale.
Vingt ans plus tard, le fiston a du matériel plus gros, des bâtiments plus grands, des traitements plus chers, des productions plus diversifiées, et du boulot plein les bottes. Au début des années 1980, un fils achète la ferme de son père, qui élève 200 chevreaux.
Ce succès n'est pas un hasard, voici les raisons qui peuvent peuvent l'expliquer. Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale.
De cette histoire personnelle, Jérôme Bergeon a fait un film, « Au nom de la terre », où Guillaume Canet insuffle une grande émotion. Du classique, hélas. "Parmi les spectateurs, beaucoup se sentent légitimés par le fait que le cinéma montre leur détresse et la rende accessible au grand public", ajoute-t-il : "C'est une manière de les déculpabiliser".
"En milieu rural, rares sont les gens qui ne connaissent pas de près ou de loin un cas de suicide", souligne Claire Ruault. Le progrès galopant est prometteur, mais exigeant. Un record réalisé loin de Paris, dans des villes plus moyennes que grandes, des cinémas associatifs, des clubs citoyens. Le film « Au nom de la terre », tourné en Mayenne, veut rafler des César.
Le film « Au nom de la terre » creuse son sillon en Anjou, Actualité sportive nationale et internationale, Cet établissement est nouveau sur maville.com. Au nom de la terre marche très bien, mais plus en province qu’à Paris, c’est bien cela ?
Selon Michel Bohuon, le film peut servir à "sortir" de l'actuel climat de dénigrement des agriculteurs, notamment autour de la question de l'utilisation des pesticides ou du bien-être animal. Association loi 1901, nous nous adressons aux personnes célibataires ayant vécu une séparation, un divorce ou un veuvage, et qui souhaitent trouver une bande de copains pour sortir de la solitude.
Au nom d’une société qui sombre dans la folie du matérialisme et de la fuite en avant.
Cinéma "Au nom de la terre" : les raisons de l'incroyable succès d'un film sur le monde agricole.
Ça sent le vécu et ça rend triste ». Les charges augmentent, pas les recettes. Eux aussi malheureusement touchés de près par le suicide dans leur entourage.
Le scénariste et metteur en scène y raconte une aventure familiale, passant du bonheur à l’horreur, de l’espoir à la mort. Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon
En revanche à Paris, coeur battant du cinéma, le film a fait moins de 200.000 entrées.
Nous t'y enverrons un nouveau mot de passe ! Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon Avec Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale. Parmi les films français qui ont réalisé le plus d'entrées, Au nom de la terre se place juste derrière Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu 2 (6,7 millions de spectateurs) et Nous finirons ensemble (2,8 millions) réalisé par... le même Guillaume Canet. « Forcément, ce n’est qu’une histoire », argumente Maurice, qui a fait plus de vingt kilomètres pour venir voir le film aux Ponts-de-Cé. Mais il y a pire.
Les projections sont souvent assorties de débats. Vingt ans plus tard, l'exploitation s'est agrandie, la famille aussi. L'acteur Guillaume Canet s'est investi à bloc dans son rôle, allant à la rencontre des agriculteurs, assistant aux débats dans les régions, partageant la cause des agriculteurs sur les réseaux sociaux. "Alors que pour les gens de la campagne, ce paysan se bat pour vivre, développer son entreprise (...) ils se vivent de son côté", ajoute-t-il. Les Parisiens sont de plus en plus compliqués dans leur pratique du cinéma. D'autant qu'il permet aux spectateurs d'entrer dans l'intimité réaliste d'une famille d'agriculteurs, de voir le fardeau de la reprise d'une exploitation et ses tensions générationnelles, d'assister aux pressions de la coopérative locale.
Vingt ans plus tard, le fiston a du matériel plus gros, des bâtiments plus grands, des traitements plus chers, des productions plus diversifiées, et du boulot plein les bottes. Au début des années 1980, un fils achète la ferme de son père, qui élève 200 chevreaux.
Ce succès n'est pas un hasard, voici les raisons qui peuvent peuvent l'expliquer. Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale.
De cette histoire personnelle, Jérôme Bergeon a fait un film, « Au nom de la terre », où Guillaume Canet insuffle une grande émotion. Du classique, hélas. "Parmi les spectateurs, beaucoup se sentent légitimés par le fait que le cinéma montre leur détresse et la rende accessible au grand public", ajoute-t-il : "C'est une manière de les déculpabiliser".
"En milieu rural, rares sont les gens qui ne connaissent pas de près ou de loin un cas de suicide", souligne Claire Ruault. Le progrès galopant est prometteur, mais exigeant. Un record réalisé loin de Paris, dans des villes plus moyennes que grandes, des cinémas associatifs, des clubs citoyens. Le film « Au nom de la terre », tourné en Mayenne, veut rafler des César.
Le film « Au nom de la terre » creuse son sillon en Anjou, Actualité sportive nationale et internationale, Cet établissement est nouveau sur maville.com. Au nom de la terre marche très bien, mais plus en province qu’à Paris, c’est bien cela ?
Selon Michel Bohuon, le film peut servir à "sortir" de l'actuel climat de dénigrement des agriculteurs, notamment autour de la question de l'utilisation des pesticides ou du bien-être animal. Association loi 1901, nous nous adressons aux personnes célibataires ayant vécu une séparation, un divorce ou un veuvage, et qui souhaitent trouver une bande de copains pour sortir de la solitude.
Au nom d’une société qui sombre dans la folie du matérialisme et de la fuite en avant.
Cinéma "Au nom de la terre" : les raisons de l'incroyable succès d'un film sur le monde agricole.
Ça sent le vécu et ça rend triste ». Les charges augmentent, pas les recettes. Eux aussi malheureusement touchés de près par le suicide dans leur entourage.
Le scénariste et metteur en scène y raconte une aventure familiale, passant du bonheur à l’horreur, de l’espoir à la mort. Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon
En revanche à Paris, coeur battant du cinéma, le film a fait moins de 200.000 entrées.
Nous t'y enverrons un nouveau mot de passe ! Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon Avec Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale. Parmi les films français qui ont réalisé le plus d'entrées, Au nom de la terre se place juste derrière Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu 2 (6,7 millions de spectateurs) et Nous finirons ensemble (2,8 millions) réalisé par... le même Guillaume Canet. « Forcément, ce n’est qu’une histoire », argumente Maurice, qui a fait plus de vingt kilomètres pour venir voir le film aux Ponts-de-Cé. Mais il y a pire.
Non seulement il est toujours à l’affiche à Angers, Cholet, Saumur ou encore Segré, mais les projections se multiplient dans les bourgs, « et donnent lieu à des débats », relate Henri Roullier, président de l’association SOS Solidarité Paysans 49. Dans les années 1980 et 1990, les agriculteurs qui entamaient des ateliers pour en sortir affichaient de l’espoir. Il n’y a plus de lien, plus personne ne se comprend, il y a rupture ». Alors qu’il ne connaît qu’un succès d’estime à Paris, « Au nom de la terre » enregistre un grand succès en province, surtout en milieu rural.
Rejoins-nous vite ! Investissements, intérêts bancaires, factures, pression, dépression, dérive… La ferme implose et la famille explose. C'est le temps des jours heureux, du moins au début Les dettes s'accumulent et Pierre s'épuise au travail. Basé sur l'histoire vraie du père du réalisateur, le film montre un Guillaume Canet habité par la passion de son métier d'éleveur, qui plonge dans l'enfer du surendettement et de la dépression. [3] Il est présenté au festival du film francophone d'Angoulême 2019.
Rencontre avec la délégation agro alimentaire ! Malgré l'amour de sa femme et ses enfants, il sombre peu à peu Construit comme une saga familiale, et d'après la propre histoire du réalisateur, le film porte un regard humain sur l'évolution du monde agricole de ces 40 dernières années.
Aujourd’hui, ils n’y croient plus ». Fait notable, le film est sur les écrans au moment où les agriculteurs défilent dans les rues, lassés de se voir « accusés de tous les problèmes du monde ». "Beaucoup de gens, touchés par les grandes difficultés que connaît le milieu agricole, veulent comprendre", explique à l'AFP Claire Ruault, sociologue spécialisée dans l'évolution du monde agricole au Gerdal (Groupe d'expérimentation et de Recherche : développement et actions localisées) à Angers. De cette histoire personnelle, Jérôme Bergeon a fait un film, « Au nom de la terre », où Guillaume Canet insuffle une grande émotion.
Les projections sont souvent assorties de débats. Vingt ans plus tard, l'exploitation s'est agrandie, la famille aussi. L'acteur Guillaume Canet s'est investi à bloc dans son rôle, allant à la rencontre des agriculteurs, assistant aux débats dans les régions, partageant la cause des agriculteurs sur les réseaux sociaux. "Alors que pour les gens de la campagne, ce paysan se bat pour vivre, développer son entreprise (...) ils se vivent de son côté", ajoute-t-il. Les Parisiens sont de plus en plus compliqués dans leur pratique du cinéma. D'autant qu'il permet aux spectateurs d'entrer dans l'intimité réaliste d'une famille d'agriculteurs, de voir le fardeau de la reprise d'une exploitation et ses tensions générationnelles, d'assister aux pressions de la coopérative locale.
Vingt ans plus tard, le fiston a du matériel plus gros, des bâtiments plus grands, des traitements plus chers, des productions plus diversifiées, et du boulot plein les bottes. Au début des années 1980, un fils achète la ferme de son père, qui élève 200 chevreaux.
Ce succès n'est pas un hasard, voici les raisons qui peuvent peuvent l'expliquer. Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale.
De cette histoire personnelle, Jérôme Bergeon a fait un film, « Au nom de la terre », où Guillaume Canet insuffle une grande émotion. Du classique, hélas. "Parmi les spectateurs, beaucoup se sentent légitimés par le fait que le cinéma montre leur détresse et la rende accessible au grand public", ajoute-t-il : "C'est une manière de les déculpabiliser".
"En milieu rural, rares sont les gens qui ne connaissent pas de près ou de loin un cas de suicide", souligne Claire Ruault. Le progrès galopant est prometteur, mais exigeant. Un record réalisé loin de Paris, dans des villes plus moyennes que grandes, des cinémas associatifs, des clubs citoyens. Le film « Au nom de la terre », tourné en Mayenne, veut rafler des César.
Le film « Au nom de la terre » creuse son sillon en Anjou, Actualité sportive nationale et internationale, Cet établissement est nouveau sur maville.com. Au nom de la terre marche très bien, mais plus en province qu’à Paris, c’est bien cela ?
Selon Michel Bohuon, le film peut servir à "sortir" de l'actuel climat de dénigrement des agriculteurs, notamment autour de la question de l'utilisation des pesticides ou du bien-être animal. Association loi 1901, nous nous adressons aux personnes célibataires ayant vécu une séparation, un divorce ou un veuvage, et qui souhaitent trouver une bande de copains pour sortir de la solitude.
Au nom d’une société qui sombre dans la folie du matérialisme et de la fuite en avant.
Cinéma "Au nom de la terre" : les raisons de l'incroyable succès d'un film sur le monde agricole.
Ça sent le vécu et ça rend triste ». Les charges augmentent, pas les recettes. Eux aussi malheureusement touchés de près par le suicide dans leur entourage.
Le scénariste et metteur en scène y raconte une aventure familiale, passant du bonheur à l’horreur, de l’espoir à la mort. Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon
En revanche à Paris, coeur battant du cinéma, le film a fait moins de 200.000 entrées.
Nous t'y enverrons un nouveau mot de passe ! Comédie dramatique (1h43) de Edouard Bergeon Avec Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale. Parmi les films français qui ont réalisé le plus d'entrées, Au nom de la terre se place juste derrière Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu 2 (6,7 millions de spectateurs) et Nous finirons ensemble (2,8 millions) réalisé par... le même Guillaume Canet. « Forcément, ce n’est qu’une histoire », argumente Maurice, qui a fait plus de vingt kilomètres pour venir voir le film aux Ponts-de-Cé. Mais il y a pire.